tout bien réfléchi, ça a toujours été un peu gore, la st-Nicolas...

La St-Nic', ou le moment tant attendu depuis notre première expérience traumatisante de collégiens.
C'est sympa, mine de rien.
Puis c'est chouette de rencontrer des gens que t'as plus vu depuis des années. "Tu m'écris un mooooot??"
Evidemment, avant, faut faire des dessins, tant bien que mal. Sous peu, j'ai prévu d'instaurer un culte en faveur des rétroprojecteurs d'ailleurs. Tout le monde devrait en avoir un chez soi : c'est si pratique. En même temps, c'est fort sympa de s'incruster chez des gens qui en ont (presque) un et de goûter par la même occasion à un plat qui a perturbé ma jeunesse. ("'Moambe'?? Mais c'est quoi ce truc à la fin?")
Faut aussi essayer de prendre de l'argent aux gens sans les voler ni les racketter (vous m'imaginez, concrètement, en train de racketter quelqu'un de plus d'1m ? ben moi non plus). Et en évitant les petites filles antipathiques et sans le sous. En sans demander deux fois de l'argent au même monsieur, malgré sa figure tellement sympathique.
Après, ça se vit, ça ne s'explique pas. (sans exagération aucune, ce n'est vraiment, vraiment pas mon style. et puis quoi encore?)
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Encore une petite chose. La nuit, il fait froid.
Et la patinoire la nuit devrait être fort marrante si quelqu'un voulait y mettre les pieds, histoire de voir les policiers courir après... mais cet événement, hélas, ne restera que dans nos imaginations.
En même temps, un café sympa avec presque personne dedans, même vers 5h du mat', c'est toujours... un peu un miracle venu du ciel. "...vous prenez un verre où je vous laisse comater?"
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Enfin arrive le matin, que j'appellerai "l'heure de la revanche", ou quelque chose comme ça mais en mieux dit. Pauvres petits enfants... quoiqu'on pourrait qualifier ça d'une sorte de relation à plaisanterie, non? (non, mais c'est pas facile-facile de placer une notion d'un cours d'anthropologie dans un article). Puis ça fait du bien, la vengeance.
NiarkNiarkNiarkNiark.